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Après moi j'essaye le plus souvent de nuancer, pas vraiment d'apporter une contradiction. Après ça peut prendre la forme d'une contradiction, mais c'est parce que je suis pas non plus un spécialiste du dialogue tu m'excuseras. J'essaye d'aller le plus efficient et pertinent possible à défaut d'enrober mes propos dans une forme consensuelle. C'est un des aspects qui me gave en politique d'ailleurs, arrêter de jouer les pucelles effaroucher et utiliser un franc parler. Si le mec en face s'offusque c'est qu'il se prend trop pour une princesse.
Faut lire au delà des parasites (parasites = mots et expressions nuisibles qui peuvent provoquer l'agacement voir l'énervement de ceux qui vont le prendre personnellement à tord ou à raison, osef).
Ok la dessus ;)
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Cependant ce gouvernement est vraiment problématique si je voulais être plus précis, pragmatique et "polie". Déjà il faut se rappeler que le gouvernement de Hiollande, qui se dit de gauche, à eu la majorité partout, donc les quasi plein pouvoir.
C'est plutôt une bonne chose qu'un seul partie pilote les différentes instances de pouvoirs exécutif et administratives, dans le cas inverse c'est un dialogue de sourd et des "deux pas en avant, trois pas en arrière".
Cela ne retire en rien que les trois pouvoirs sont séparés, même si on sait tous que dans les faits il y a des abus. On peut au moins se dire que les abus ne sont pas "la norme". En d'autres termes, tant que le judiciaire est indépendant dans l'immense majorité des cas, ça me va.
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Le résultat c'est plus de chômage, plus de précarité, et plus d'avantage pour les classes déjà aisé qui le sont encore plus. C'est la gauche ça? Y a un problème non? D'ou ce sentiment de "blague", on du mal à croire qu'ils sont sérieux, ils se ficheraient pas de nous par hasard? (Je ne crois absolument pas en incompétence de nos élites, ils sont très compétant, mais compétant dans l'enfumage du peuple, et la spoliation des richesses produites par le peuple)
La dessus il y a beaucoup à en dire, mais je tiens quand même à souligner malgré tout que certaines lois votés sont de nouveaux acquis sociaux, comme la loir ALUR pour le locataire qui a refixé plusieurs normes et limites en faveur du locataire. Une reforme des impots a étés faite également pour taxer au prorata du salaire moyen annuel sur un mode logarythmique (les plus riche payent plus, les plus pauvres payent moins). Je peut en temoigner, mon père s'est pris 4000 € dans la tronche au moment de Noël dernier, il a beau être fier de payer des impots il l'a eu très mal.
Autrement, il y a évidemment cette illusion selon laquelle nous votons pour des idéaux (la gauche progressiste et socialiste, la droite libérale et conservatrice) alors qu'en réalité nous votons pour des parties qui une fois qu'ils sont élus prennent en main un chantier. Je souhaiterais que personne ne perde de vu qui est le réel chef du chantiers et qui dicte les règle, qui dit quoi faire, ce n'est certainement pas le président de la republique selon moi.
Comme j'avais soulevé, c'est aussi très souvent une histoire de bras-de-fer auquel sont soumis les socialistes. Vous n'êtes pas sans savoir que la haute-société, qu'elle soit française, européen, occidentale ou internationale a plutôt tendance à être à l'aise du coté du libéralisme économique totale. Ca signifie que quand un elu socialiste veut tapper les points sur la table, il recoit en retour une vague non-négligeable de "si tu fais ça, on va voir ailleurs". On peut appeler ca une prise en otage de la politique par les dominants de l'économie qui ne marche que dans un seul sens, le libéralisme.
Donc évidemment qu'un gouvernement socialiste ca ne marche pas, évidemment que ca ne fait pas beaucoup de réforme socialiste et qu'au final ils se retrouvent à faire la même chose que leurs prédécesseurs, ils ont pas specialement le choix.
Un politique aujourd'hui c'est plus Napoléon qui arrive et qui dit "Je veux que ça soit comme ça" et qui fait en sorte que tout soit "comme ça". C'est surtout des néogications, de la diplomatie, des amitiés, des relations, des partenariats, des accords, des concenssus, etc...